Après une présentation générale de la société papouane-néo-guinéenne (première partie), l’article étudie les institutions foncières traditionnelles et les rapports à la terre – fréquemment considérés comme « archaïques » – (deuxième partie), puis le processus d’enregistrement des terres à l’époque coloniale et depuis l’indépendance (troisième partie), pour examiner finalement la modernité des résistances paysannes de ce pays (quatrième partie).